Nancy Guilbert & Cécile Vangout
32 pages, éditions Eveil et Découvertes, septembre 2016
L'histoire :
Dans quelques jours, c’est la rentrée. Cali est inquiet à l’idée de ce premier jour d’école car il sera loin de ses parents, de son petit chat, de son pommier…
Mais Cali oublie vite ses inquiétudes grâce à Tina, sa maîtresse douce et bienveillante qui l’accompagne dans cette étape importante.
Mon avis :
Après "Le Pommier de Cali" et "Cali a peur de la nuit", Nancy Guilbert et Cécile Vangout nous offrent une nouvelle histoire pleine de tendresse mettant en scène notre petit éléphant préféré. Mes enfants adorent ce personnage et sont ravis de le retrouver.
Dans ce nouvel album, Cali s'apprête à faire sa première rentrée à l'école. C'est une grande étape et il n'est pas très rassuré. Il a le coeur lourd. Il n'a pas envie d'être séparé de ses parents, de changer d'environnement et de modifier ses habitudes. Cela fait beaucoup de changements en même temps ! Mais avec l'aide de sa famille et la gentillesse de sa maîtresse, le voilà bientôt rassuré et même prêt à rassurer les autres enfants !
Ce petit livre est vraiment mignon. Je craque toujours autant pour l'univers de Cali, les mots tendres de Nancy Guilbert et les illustrations pleines de douceur de Cécile Vangout. C'est un petit album vraiment réconfortant pour les tout-petits dont le quotidien est sur le point de changer considérablement et qui sont un peu angoissés par la séparation. Cette histoire rassure et rend curieux, elle donne envie de découvrir l'école et de rencontrer d'autres enfants. On retrouve, avec plaisir, tout ce qui fait la force de cette série : les liens très forts entre les générations, une bonne dose d'amour, le pommier qui est un personnage à part entière, cette douceur irrésistible et cette façon d'accompagner les enfants, de les aider à grandir et à s'épanouir sans les brusquer et en les rassurant. J'aime beaucoup, beaucoup !
En quelques mots :
Un livre adorable et rassurant pour préparer et accompagner les enfants qui rentrent à l'école sans les brusquer.